Bonjour !
Ici, vous pourrez trouver certains de mes poèmes...
Alors voilà :

Toute l’après-midi
Je me suis langui.
Avec ton absence infinie,
Je me suis attendri.

A l’idée de ta venue,
Je me suis éperdu,
Car lorsque tu es là,
Il n’y a plus que toi.

Quand tu m’honores de ta présence,
Mon esprit s’installe,
Mon cœur s’emballe,
C’est un sentiment,
Qui s’empare de moi,
Dans le plus grand désarroi,
Et toi, seulement,
Possèdes cette influence.

C’est cette chaîne,
Dont je suis prisonnier,
Qui me prive de la liberté,
Qui me fait avancer.

Ce sont ces mots,
Si délicats, si beaux,
A l’inverse des maux,
Qui ne sont que fardeaux.

C’est cette innocence,
Pure, telle de l’insolence,
Qui accroît ma vigilance
Dans les méandres du silence.

Voilà ce qui a déclenché ma passion,
L’âme de toutes mes pulsions.
Voilà ces qualités,
Vers lesquelles sont dirigées
Toutes mes pensées.

Grande sont mes inquiétudes
Lorsque tu n’es pas là,
Car s’il t’arrivait quoi que ce soit,
Je ne serais plus présent,
Mais en pleine solitude,
Tout en y repensant.

Chacune des tes absences
N’a pour moi aucun sens.
Chacun de tes départs
A pour effet de me faire souffrir,
De me faire devenir un martyr.

Mais cela mis à part,
Tu redeviens l’origine
De cette sensualité, de cette volupté.
Tu redeviens la racine
De mon bonheur, de toutes mes joies.

Je t’enjôle dans les cieux,
Je t’enrôle parmi les dieux,
Tu es mon unique Déesse,
Celle qui me permet toutes ces prouesses.

Je t’ouvre mes bras,
Je t’ouvre mon cœur,
Pour mon plus grand bonheur,
Et mon unique vanité.

C’est cette personnalité,
Qui me fait dériver,
Sans repos, jusqu’à toi
Toute l’éternité.

Lorsque tu n’es pas là,
Chaque seconde,
Je sonde,
Chaque minute,
Je lutte,
Chaque heure,
Je pleure.

Voici la face de mon âme,
Au fond de mon cœur,
Sans défense, sans arme,
Dans toute sa profondeur.

C’est celle-ci que je t’offre,
Que tu peux enfermer dans un coffre,
Ou à deux mains la saisir,
Pour mon plus grand plaisir.

J’ai le cœur crispé,
Dans ce froid glacial,
Cette chaleur brutale,
Cette tempête éveillée.

Ton absence est mon bourreau,
Un cauchemar, un fléau,
Ce qui me fait tituber,
Et même souvent tomber.

Tout ce temps sans toi,
Je le passe dans le noir,
Attendant, espérant
Ta venue prochaine.

C’est pourquoi,
Je veux te voir,
Et tout en parlant,
Me libérer de ces chaînes.

Je pense à tes brèves présences,
A tes très longues absences.
Je pense à ce qui m’a mené là,
A ce mystère enfoui en toi.

Je m’interroge sur ces sentiments,
Qui se sont rapidement épris de moi.
Je m’interroge sur ce que tu penses de cela,
Et de tout cet emportement.

Je me sens perdu,
Je suis tombé amoureux,
Même si c’est dangereux,
Et ce depuis le début.

De ce désespoir
Est rempli mon regard.
Celui de ne pas te voir,
D’être là,
De penser à toi.

Le cœur empli de chagrin,
Je ressens de la douleur,
Mais aussi du bonheur,
Le cœur plein d’entrain.

A l’idée que tu sois là,
Mon esprit s’en va,
Dans ce monde merveilleux,
Où on est amoureux.

Je pense à toi,
Tu n’es pas là,
Je pense à toi,
Tu es là.

Toute mes pensés
Te sont destinées,
De la plus insignifiante
A la plus importante.

C’est cette ampleur,
Qu’il y a avec toi,
Qui me met en pleures,
Qui me met en joie.

Tu as du talent ^^ ! Bravo !!

La tristesse m’avait emporté,
Les larmes coulaient,
Mon cœur battait,
Je me sentais oppressé,
Par ce lourd fardeau :
Celui de ne plus t’aimer.

J’en avais chaud,
Tout en étant glacé.
Complètement tiraillé,
Totalement perdu,
Je ne savais plus
Dans quelle direction aller.

Mais tu es arrivée,
Tu m’as accepté,
Tu m’as guidé,
Tu m’as sauvé.
Je ne saurais te remercier
Qu’en t’offrant ces baisers.

Toi de qui je suis amoureux,
Je ferais ce que tu veux.
Je t’offre ma vie,
Je te la donne en impie.
Je m’abandonne à toi,
Car tu es la seule à me faire ça.

Quelque soit l’instant,
Peu importe le moment,
Je pense à toi,
A ce qui était là.

De pleurer, je ne cesse,
Au milieu de cette détresse,
Et en toute paresse,
Quelque soit l’allégresse.

Je ne m’en défais pas,
Et pour accepter cela,
Je prends ce temps,
Et ce contre le vent.

Je suis dans ce gouffre,
Au fond duquel je souffre.
Sans m’en échapper,
Je dois le surmonter.

Ainsi je suffoque,
Ecrasé par ce poids
Juste au-dessus de moi,
Engagé parmi ces chocs.

Et de par cela,
Je me sens oppressé,
Dans ce tourbillon fragmenté,
Qui me rattache à toi.

Voilà l'oubli,
Cet art infini,
Celui qu'on choisit,
Contrôlé par l'esprit.

Mais il arrive un moment,
Où l'on ne peut plus faire semblant,
Et à cet instant,
L'âme est en sang.

Autant se dévoiler,
Ne plus se cacher,
Tout avouer,
Et se soulager.

Dénué d'arme,
Mais en larmes,
Je me retrouve
Au fond des douves.

C'est de ce coma,
Que je rejoins chaque fois,
Dont je suis las,
Dont je ne m'échappe pas.

Tout cela se faisant,
L'âme est à vif,
L'âme est en sang,
C'est ce coeur maladif.

Mais quel est ce problème ?
Pourquoi ne pas s’exprimer ?
Ne pas se prononcer ?
Ne rien dire à ceux qu’on aime ?

Est-ce de la timidité ?
De la peur ?
Il faut pourtant oser,
Et ce, même sans lueur…

Que ce soit mensonge ou silence,
Il faut l’éviter, le condamner.
Le mieux reste la vérité,
Elle qui instaure la confiance.

Oo ! j'adore celle ci !! WOW , j'ai vraiment aimé xD !

Ah bah tant mieux si tu aimes... :D

Waaaaaaw Lelouch t'es génial !!
Mais attendez Un instant ! selon ma théorie on est pas sûr a 100% que c'est Lui qui les a crées !
alors Lelouch ........ dis Nous d'ou es ce que tu sors ces Beaux poémes ? :))))

Ces poèmes sortent directement de mes sentiments... Enfin là, c'était simplement des copier/coller du contenu de fichiers sur mon disque dur...

xD ! bien dit lelouch !!
On ne connais lelouch , il n'est pas de nature à voler les créations des autres et les qualifies pour soi même !
Bravo lelouch ! Tu as du talent ! on t'encourage ! continue !

Ainsi confiné
Dans cette seule idée,
Je me sens opprimé.

Par un simple mouvement,
Je ressens cet emportement,
Mais aussi cet étouffement.

Me voilà suffoquant,
Tout en me dévoilant,
Ainsi le supportant.

Ha ! c'est génial ^^ trop bien ce poème ! dis donc toi , tu veux être victore Hugo XD

Le dos courbé,
Le cœur enflé,
J’étais opprimé.

Mais ce poids s’est levé,
Et je me sens plus léger,
Dans cette passion libérée.

Grâce à cet être réveillé,
Je ne suis plus alarmé,
Mais au contraire réconforté…

Le chagrin réprimé,
Le bonheur retrouvé,
La beauté désirée.

Nos peaux rougissantes,
Nos respirations haletantes,
Et cette chaleur brûlante,

Ne font qu’exprimer
Ce cœur acharné,
Qui nous fait avancer.